En 2024, nos équipes de R&D ne vont pas chômer.
D’abord, parce qu’on lance les versions « grand public » de nos deux logiciels maison :
En 2024, nos équipes de R&D ne vont pas chômer.
D’abord, parce qu’on lance les versions « grand public » de nos deux logiciels maison :
L’innovation technologique peut-elle améliorer la gestion des aires protégées ?
C’est le sujet d’un séminaire qui a eu lieu cette semaine à l’Université de Toulouse, organisé par Réserves naturelles de France, les Parcs nationaux de France, l’Office français de la biodiversité et la Zone Atelier Pyrénées Garonne.
On a été invités à y présenter nos travaux en cours sur le suivi d’espèces par pièges photographiques, sur de vastes territoires et durant de longues périodes.
Comment la structure des paysages influence-t-elle les déplacements d’abeilles et leur activité de pollinisation ?
C’est l’une des questions sur lesquelles travaille Anouk Glad dans le cadre du projet de recherche ConnecPoll, auquel est associé TerrOïko.
Elle présente le 20 octobre une partie de ses travaux lors du colloque organisé par Payote (*), le réseau d’échange sur la modélisation des paysages et des territoires agricoles, piloté par l’INRAE.
Il faut qu’on vous parle de clôtures. Et de leurs impacts sur la faune.
On évoque souvent ici les infrastructures de transport (routes, voies ferrées, etc.) et les pressions qu’elles font peser sur les espèces animales, notamment en générant un risque de collision et en entravant les déplacements des individus.
On a rejoué le duel des anciens et des modernes, version modélisation écologique. Petit débrief du match.
On évoque régulièrement ici l’usage croissant de capteurs (photo, audio) pour collecter des données sur la faune. En permettant un suivi en continu de la biodiversité, ces données (couplées à l’IA pour la reconnaissance automatisée des espèces) offrent de grandes perspectives pour améliorer la préservation des écosystèmes.
On a travaillé sur quatre récits prospectifs pour imaginer le futur des infrastructures de transport et de leurs impacts sur la biodiversité à l'horizon 2050.
Et on en a trouvé un qui ferait l’affaire.
Après deux ans et demi de travail, le projet européen Bison touche à sa fin.
Le séminaire international de présentation des résultats aura lieu à Strasbourg du 5 au 9 juin, avec le soutien de la Commission européenne, du Conseil de l'Europe, du Programme des Nations-Unies pour l'environnement et de l'OCDE.
Et on y sera évidemment !
Le changement climatique étant l’une des cinq causes majeures de disparition des espèces, il est tentant de penser qu’en réduisant l'impact carbone de nos activités, on fait aussi un geste pour la biodiversité.
C’est en fait beaucoup plus complexe, voire totalement faux dans certains cas.
Comment développer, à l’avenir, des réseaux de transport à la fois fiables, efficaces et respectueux de la biodiversité ? C’est le vaste sujet auquel est consacré le projet européen Bison, dont TerrOïko est l’un des principaux contributeurs en France.
Comment s’appuyer sur l’intelligence artificielle pour améliorer la transparence écologique des infrastructures de transport et réduire le risque de collision ? Vous saurez tout grâce au webinaire que nous avons consacré à cette question et aux possibilités qu’offre notre logiciel Ocapi en la matière.