On a travaillé sur quatre récits prospectifs pour imaginer le futur des infrastructures de transport et de leurs impacts sur la biodiversité à l'horizon 2050.
Et on en a trouvé un qui ferait l’affaire.
On a travaillé sur quatre récits prospectifs pour imaginer le futur des infrastructures de transport et de leurs impacts sur la biodiversité à l'horizon 2050.
Et on en a trouvé un qui ferait l’affaire.
Après deux ans et demi de travail, le projet européen BISON touche à sa fin.
Le séminaire international de présentation des résultats aura lieu à Strasbourg du 5 au 9 juin, avec le soutien de la Commission européenne, du Conseil de l'Europe, du Programme des Nations-Unies pour l'environnement et de l'OCDE.
Et on y sera évidemment !
Le changement climatique étant l’une des cinq causes majeures de disparition des espèces, il est tentant de penser qu’en réduisant l'impact carbone de nos activités, on fait aussi un geste pour la biodiversité.
C’est en fait beaucoup plus complexe, voire totalement faux dans certains cas.
Comment développer, à l’avenir, des réseaux de transport à la fois fiables, efficaces et respectueux de la biodiversité ? C’est le vaste sujet auquel est consacré le projet européen Bison, dont TerrOïko est l’un des principaux contributeurs en France.
Comment s’appuyer sur l’intelligence artificielle pour améliorer la transparence écologique des infrastructures de transport et réduire le risque de collision ? Vous saurez tout grâce au webinaire que nous avons consacré à cette question et aux possibilités qu’offre notre logiciel Ocapi en la matière.
Comment mieux comprendre et protéger la biodiversité grâce aux données collectées par des capteurs de terrain ? Nous évoquons souvent le rôle central de l’intelligence artificielle (IA) pour l’analyse de ces données et la reconnaissance automatique des espèces (ce pour quoi notre logiciel Ocapi a par exemple été créé). Mais ce n’est que le premier étage de la fusée. Que se passe-t-il ensuite ? On vous explique tout.
Comment intégrer la protection de la biodiversité au cœur des process de développement et de gestion des bâtiments et des infrastructures ? Chez TerrOïko, nous nous penchons sur cette question depuis plusieurs années. Et la conviction que nous avons acquise, c’est qu’il faut faire converger les outils numériques de l’écologie et ceux de la construction.
"Qu’y a-t-il dans la boîte noire ?" C’est une question qui revient fréquemment lorsque l’on parle de modélisation, en particulier lorsque ce type de méthode est appliquée à la vie des espèces et à leurs déplacements.
Comment améliorer la mise en œuvre de la séquence ERC (éviter, réduire, compenser) en mobilisant de nouveaux outils et en travaillant à l’échelle de la planification territoriale ? C’est le point de départ de la thèse de doctorat de notre collègue Jules Boileau qui, après trois ans de dur labeur, va soutenir le résultat de ses travaux cette semaine.
Une offre de post-doc est ouverte chez TerrOïko pour participer au projet Aigle, qui traite des enjeux de collisions aviaires dans les aéroports, en association avec l’Université Gustave Eiffel et la société espagnole Minuartia.
En poste à l’Université Gustave Eiffel, vous bénéficierez d’un contrat de 2 ans financé par l’Agence nationale de la recherche dans le cadre du plan France Relance.
Le contexte :