Il faut changer d’échelle.
Aujourd’hui, quand ils conçoivent et exploitent une infrastructure de transport, les professionnels du secteur travaillent généralement sur une emprise très étroite : la route elle-même (ou la voie ferrée) et ses abords immédiats. C’est-à-dire un fuseau de quelques dizaines de mètres de large.
On milite depuis longtemps pour que la conception et la gestion de ces ouvrages prenne en compte des territoires beaucoup plus étendus, jusqu’à plusieurs kilomètres de part et d’autre des tracés.