Dans le cadre du projet de recherche OptiBioNum qui va bientôt démarrer, on recrute un ou une stagiaire coordinateur BIM pour travailler sur l’intégration d’indicateurs de performance écologique dans les maquettes numériques de bâtiments et de territoires.
Ce stage s’inscrit dans la lignée des travaux qu’on mène depuis plusieurs années sur ces sujets :
On vous invite à suivre de près et à participer à l’un des projets de recherche dans lequel on est engagé.
PEP-BiOccIA, c’est son nom, vise à cartographier les milieux naturels et prédire la présence d'espèces sur l’ensemble du territoire de l’Occitanie, pour mieux planifier la préservation de la biodiversité à moyen et long terme.
Dans le cadre de l'appel à projets de recherche que nous avons lancé, nous allons mettre notre logiciel SimOïko à disposition des chercheurs dont les propositions auront été sélectionnées.
SimOïko, c'est la "Rolls-Royce" des plateformes de simulation, conçue avec une interface qui la rend accessible même à ceux qui ont peu ou n'ont pas d'expérience en modélisation écologique.
Que peut-on faire concrètement avec ce logiciel ?
Comment simuler la vie et les déplacements des espèces dans des paysages qui changent au cours du temps ?
Pour répondre à cette question, on a lancé il y a un an et demi la modélisation en paysage dynamique avec notre logiciel SimOïko.
TerrOïko soutient des projets de recherche en faveur de la biodiversité.
Dans le cadre du prochain lancement de la version "commerciale" du logiciel SimOïko, nous ouvrons un appel à projets à destination des chercheurs intéressés par l'exploration de nouvelles approches de modélisation des réseaux écologiques et d’analyse de viabilité de populations pour préserver et enrichir la biodiversité.
SimOïko c’est notre logiciel de modélisation qui permet de simuler la vie des espèces sur un territoire.
En écologie, prendre les bonnes décisions, ça commence souvent par faire des maths.
Et cette semaine, c’est au Pays-de-Galles qu’on a fait des maths. Beaucoup de maths.
La ville de Swansea accueillait la Conférence internationale d’écologie statistique (ISEC), qui est l’événement majeur dans ce domaine.
Pour cette édition, deux de nos collègues ont fait le voyage afin de présenter leur travaux.
Comme on avait peur de s’ennuyer, on va démarrer un nouveau projet d’ampleur autour de l’IA et de la biodiversité.
Porté par la région Occitanie et baptisé PEP-BIOccIA, il fait partie des huit projets lauréats qui viennent d’être retenus dans le cadre de l’appel à projets "Démonstrateurs d’IA frugale pour la transition écologique des territoires", piloté par l’Ecolab - Greentech Innovation, le ministère de l'Écologie et la Banque des Territoires.
Dans le cadre de sa thèse, notre collègue Léa Pautrel s’intéresse à la manière de traiter les données d’observation d’espèces réalisées à l’aide de capteurs photo.
Une fois analysées par IA pour identifier les espèces photographiées, ces données sont utilisées pour nourrir différents modèles statistiques et en particulier des modèles d’occupation, qui ont pour objectif d’estimer la probabilité de présence ou d’absence d’une espèce en différents points d’un territoire.
L’articulation entre protection de la biodiversité et gestion des infrastructures de transport vous intéresse ? Alors foncez lire le dernier numéro de la RGRA, qui est consacré à ces sujets.
Cette semaine, on était sur le plateau de B SMART pour présenter notre logiciel SimOïko et ses applications.
Notre présidente Catherine de Roincé a répondu aux questions de Thomas Hugues, qui anime l’émission Smart Impact dédiée à la transformation environnementale et sociétale de l’économie.