Pour rendre ces données scientifiquement exploitables, notamment pour entraîner des modèles d’IA ou nourrir des analyses statistiques, il faut les annoter, c’est-à-dire les enrichir avec d’autres informations, à commencer par le nom de l’espèce identifiée.
C’est le sujet auquel étaient consacrées, la semaine dernière, les journées EcoinfoFAIR qui rassemblent chaque année les acteurs de l’informatique appliquée à l'écologie. Pendant trois jours, tout le monde s’est retrouvé à la Station d’écologie théorique et expérimentale du CNRS, à Moulis.